Cinéma Cornay - rue de l'Abreuvoir - 86120 Loudun

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Association cinéma Art et essai

 HUIT ET DEMI

jeudi 20 novembre 2025 à 20h30

Désir (Sex)

La trilogie d'Oslo: Désir (2024) - Vidéos - IMDb

de Dag Johan Haugerud 

(Norvège - Drame - 2024)

Avec :   Jan Gunnar RøiseThorbjørn HarrSiri Forberg

Tout public

Un ramoneur, heureux père de famille, en couple avec son épouse depuis des années, a une aventure inattendue avec un client ... Il ne la considère ni comme l’expression d’une homosexualité latente, ni comme une infidélité, juste comme une expérience enrichissante. Il s’en ouvre à son épouse, qui le prend mal, puis à son patron, marié comme lui, qui lui avoue faire toutes les nuits des rêves dans lesquels il est une femme, objet du désir de David Bowie...

 (troisième et dernier volet de la Trilogie d'Oslo )

Venez nombreux !

* * *

Après “Rêves” et “Amour”, cette chronique du sentiment amoureux, à l’humour subtil, s’achève en beauté. En interrogeant, le désir au masculin, ses fantasmes, ses contradictions… (Télérama)

On sort de ce film chargé de questions qu’on n’ose poser qu’à demi-mot, tant elles sont vertigineuses (Le Dauphiné libéré)

Une certaine chaleur, une douce intimité baignent ces dialogues où un Rohmer rougirait souvent. (Le Figaro)

Haugerud clôt ici sa trilogie sur le sentiment amoureux en beauté grâce à ce qui en constitue l’ADN et la qualité majeure. Son art du dialogue, sa capacité à mettre des mots sur le cheminement introspectif de personnages confrontés à des situations qui remettent en question leurs certitudes et bouleversent le regard des autres sur eux sans que rien ne vienne pourtant les faire dévier de leur désir de s’accepter – et de s’aimer – autrement. (Première)

Après avoir disséqué l’amour et ses fantasmes dans la capitale norvégienne, Dag Johan Haugerud conclut sa trilogie dans une réflexion drôle et sensible sur le genre et l’instabilité du désir. Une réussite. (AVoir-ALire.com)

Dans Désir, dernier volet de la Trilogie d’Oslo, le Norvégien Dag Johan Haugerud signe un film audacieux et fin sur les complexités du désir et de l’identité. Entre humour queer et références malicieuses (de David Bowie à Brad Pitt), il explore avec subtilité la libération de la parole masculine, bousculant les normes de genre. Une cure psychanalytique à ciel ouvert, portée par deux ramoneurs en quête d’eux-mêmes. (En train de lire)

Voir bande annoncehttps://www.youtube.com/watch?v=d0i52S2W3nI