Cinéma Cornay - rue de l'Abreuvoir - 86120 Loudun
Association cinéma Art et essai
HUIT ET DEMI
jeudi 4 décembre 2025 à 20h30
En Boucle

de Junta Yamaguchi
(Japon 2023 - sortie France 2025)
Durée du film : 1h26
Avec : Riko Fujitani, Manami Honjô, Gôta Ishida
Une nouvelle journée commence à l’auberge Fujiya, nichée au coeur des montagnes japonaises. Une journée ordinaire… ou presque : car les uns après les autres, les employés et les clients se rendent compte que les mêmes 2 minutes sont en train de se répéter à l'infini... Certains veulent en sortir, d’autres préfèrent y rester, mais tous cherchent à comprendre ce qui leur arrive.
* * *
Lisible et jubilatoire de A à Z, porté par une inventivité de chaque instant, riche de percées bien absurdes sur la condition humaine [...] et d’une histoire d’amour s’imposant peu à peu comme la colonne vertébrale de l’ensemble, cette pépite nippone avec rien dans les poches et tout dans la tête, déploie assez de trouvailles et d’inventivité pour troquer le moindre mal de tête contre un yo-yo émotionnel de premier ordre. (Abus de ciné)
Une comédie burlesque japonaise, sur fond de science-fiction parodique, voilà quelque chose que l’on n’a pas déjà vu cent fois. Il y a une vraie folie dans cette histoire de boucle temporelle où se trouve bloquée l’auberge Fujiya. (Femme actuelle)
C’est ludique, léger, inégal bien sûr, comme tout ce qui repose sur un concept fou, mais combien de films vous redonnent le sourire en vous posant une question existentielle ? (Paris Match)
Il y a assurément dans En boucle une véritable virtuosité scénaristique. Peu de films réussiraient à tenir presque une heure et demi sur une scène qui se fige et recommence à l’infini, depuis le derrière de l’hôtel où coule une délicate rivière. Le mysticisme frappe timidement à la porte du récit qui s’abandonne à une sorte d’aventure fantastique, pleine de poésie. En boucle a le mérite de l’originalité. Il ne s’agit pas d’un grand film inoubliable, mais plutôt d’une comédie sympathique où le réalisateur Junta Yamaguchi se laisse aller au goût de la facétie et de la théâtralité. (A voir A lire)
Voir bande annonce : https://youtu.be/0fNyr7WM8b0Une trépidante variation sur le voyage dans le temps. À 13h58, l’heure d’une auberge nippone revient sans cesse à 13h56. Effroi et sauve-qui-peut sans fin : un exercice de style inventif et charmant. (Télérama)
ante variation sur le voyage dans le temps. À 13h58, l’heure d’une auberge nippone revient sans cesse à 13h56. Effroi et sauve-qui-peut sans fin : un exercice de style inventif et charmant. (Téma)
Une trépidante variation sur le voyage dans le te
mps. À 13h58, l’heure d’une auberge nipponUne trépidante variation sur le voyage dans le temps. À 13h58, l’heure d’une auberge nippone revient sans cesse à 13h56. Effroi et sauve-qui-peut sans fin : un exercice de style inventif et charmant. (Télérama) revient sans cesse à 13h56. Effroi et sauve-qui-peut sans fin : un exercice de style inventif et charmant. (Télérama)
Une trépidante variation sur le voyage dans le temps. À 13h58, l’heureUne trépidante variation sur le voyage dans le temps. À 13h58, l’heure d’une auberge nippone revient sans cesse à 13h56. Effroi et sauve-qui-peut sans fin : un exercice de style inventif et charmant. (Télérama)Une trépidante variation sur le voyage dans le temps. À 13h58, l’heure d’une auberge nippone revient sans cesse à 13h56. Effroi et sauve-qui-peut sans fin : un exercice de style inventif et charmant. (Télérama) d’une auberge nippone revient sans cesse à 13h56. Effroi et sauve-qui-peut sans fin : un exercice de style inventif et charmant. (Télérama
